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LES MOEURS ET LA CULTURE COMMUNE.

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Ryûsuke Uchiha
‹ MESSAGES : 37
‹ AVATAR : matt daddario.
‹ CRÉDITS : sassenach (av)
‹ PSEUDO : Anders (marine)
‹ COMPTES : gladio l'épéiste.
LES MOEURS ET LA CULTURE COMMUNE. Tumblr_osdme3cpWZ1r02hd1o7_400
‹ ÂGE : trente et une années.
‹ EMPLOI : jeune jônin depuis peu, il doit encore faire ses preuves pour prouver ce dont il est capable et qu'il est digne de son clan.
‹ CLAN : le clan uchiha, les maîtres du sharingan.
‹ ROMANCE : compliqué.
‹ JUTSU : dôjutsu héréditaire, sharingan à trois branches, ninjutsu (raiton/katon), invocation (contrat lié avec ...), genjutsu et fûinjutsu.
‹ ARSENAL : underco.
‹ LOCALISATION : sur les bords du lac.
‹ RYÔS : 5081
Ryûsuke Uchiha
• jônin •
MessageSujet: LES MOEURS ET LA CULTURE COMMUNE. LES MOEURS ET LA CULTURE COMMUNE. EmptyMer 8 Nov - 12:32


mœurs et culture commune

coutumes & traditions
« Les cordes de la harpe s'accordent et s'harmonisent comme la transmission d'un message. Celui de l'esprit des traditions au gré du temps. »
Hatori Sensei, recueil des pensées page 134.

( LE MARIAGE )
Dans cet univers, le mariage respecte la ligne directive shinto mais d'une pensée bien plus contemporaine. Nommé shinzen shiki soit plus communément « cérémonie devant les divinités », le mariage est fort de ses traditions qui ce sont étoffées et enrichies. Etant connue comme la forme la plus ancienne, le mariage symbolise la destinée qui lie les mariés l'un à l'autre mais aussi à unir le soutien entre leurs deux familles respectives. Célébré au sein d'un sanctuaire spirituel et traditionnel, le couple se doit d'avoir été légalement marié avant la cérémonie officielle. Les vêtements de la mariée respecte le code ancestral soit un kimono blanc (symbole de virginité et d'obéissance) ainsi que d'autres sur kimono de divers motifs. Le futur époux en revanche, revêt l'uniforme propre aux armoiries et aux couleurs de sa maisonnée (de son clan). Diriger par un prêtre, la présence des témoins est nécessaire pour conduire à bien la cérémonie. Cette dernière réglée comme du papier à musique suit des étapes bien spécifique : le rite de la purification, l'offrande aux divinités, la cérémonie des trois coupes (de saké selon un rituel), l'échange des alliances, les serments des époux, la performance musicale, la promesse respectives des familles au travers d'un coupe de vin échangée. On notera que le moment le plus important est sans doute l'échange des coupes nuptiales entre les deux mariés.
On peut encore conclure à certains mariages arrangés (même si cela reste rare), ce qui est souvent le cas entre les plus anciens clans des villages afin de conserver une certaine autorité de puissance, mais aussi pour protéger leurs biens héréditaires.

( LA MORT )
Quelque soit le pays, quelque soit les origines ou encore la diversité des opinions, s'il y a bien une chose - dans sa généralité - où le peuple se rassemble c'est bien au cœur de la croyance. Cette dernière est très importante dans bon nombre de domaine et d'autant plus lorsqu'il s'agit de la fin de vie mais plus précisément de la mort. Cette dernière est considérée comme le début d'une toute nouvelle existence. Ainsi l'ensemble des rites, cérémonies qui l'entourent sont construites à partir de cette idée. Ici célébrer le culte des morts, c'est rendre un dernier hommage certes mais avant tout accompagner les défunts au cours de leur dernier voyage entre deux terres : celle de la vie d'avant et celle de la vie d'après. Les funérailles respectent l'ordre traditionnel selon le calendrier chinois et donc se déroule en plusieurs étapes. La première étant la veillée funèbre ( qui a lieu généralement au domicile de la famille) qui permet de venir visiter une toute dernière fois le défunt, mettre une dernière image sur son visage, lui rendre hommage. Les plus proches (famille et amis) remettent à la famille une enveloppe financière afin de participer et d'aider à la cotisation des funérailles. On brule également des encens afin de bénir le corps du défunt. Puis vient ensuite l'incinération de ce dernier. Les cendres sont glissées dans un urne et confiées à la famille. L'urne est placé au centre d'un petit autel et ce durant une période de quarante-neuf jours. Et enfin la dernière étape : l'enterrement. Il suit la période des quarante neuf jours de deuil avant que l'on dépose enfin l'urne au sein du caveau familial.
On notera également que selon la tradition le port de la couleur noire est obligatoire lors des cérémonies uniquement et que les proches du défunt ne portent aucunement le deuil après la dite cérémonie.

( LES FESTIVITES )
Très portés sur les célébrations et les rites, la population du monde est friande de se rassembler pour fêter ensemble les traditions lointaines et récentes. Une occasion pour tous de partager, de célébrer, de ne pas oublier l'essentiel d'un passé qui est le résultat d'aujourd'hui. Une année civile se calque ici sur le rythme des quatre saisons doit l'automne, l'hiver, le printemps et l'été. Tout tourne autour de ces périodes qui ont chacune leur lot de fêtes et de coutumes.

le mois de janvier.
Shôgatsu : le Nouvel An.
Si son appellation désigne selon son origine le premier mois de l'année, il est aussi l'évènement le plus important. Il est de tradition que l'ensemble des familles se rassemblent afin de partager un repas commun et honorer le signe astrologique de l'année en cours. Le port des vêtements, l'art culinaire et spirituel, tout respecte le mouvement traditionnel pour une fête de couleurs et de saveurs. Le shôgatsu dure quelques jours, notamment pour apercevoir le premier levé du soleil de la nouvelle année.

Seijin Shiki : célébration du passage à l’âge adulte.
Il est de coutume - depuis quelques siècles - de célébrer l'entrée de son enfant au cœur de la vie adulte. Le Seijin Shiki (seijin signifiant vingt en japonais) symbolise une avancée nouvelle dans la vie. Une étape importante à ne pas manquer pour les ainés. Ce passage à l'âge adulte est un rite très apprécié des villages, en particulier des plus jeunes. Seijin Shiki rassemble tous les jeunes gens ayant atteint cet âge autour d'une cérémonie.

le mois de février.
setsubun : passage de l’hiver au printemps.
Plus souvent appelé la veille d'un changement de saison, le setsubun est la nuit qui précède l'arrivée d'un autre climat, en autre celle du printemps. Au cours de cette fête, nombreux sont les habitants des petits et grands villages à lancer des haricots à l'intérieur de leur domicile pour chasser les mauvaises ondes et favoriser les influences positives.

le mois de mars.
O-higan : équinoxe de printemps.
Cet période de l'année est celle qui correspondrait à notre équinoxe d'automne. Pour autant, ici l'équinoxe de printemps est consacrée à la semaine en l'honneur de ceux qui nous ont quittés. Visiter les cimetières pour honorer les proches et les ancêtresavec respect et spiritualité certes mais avec une touche d'optimisme pour favoriser la chance. Il est donc de coutume de manger des gâteaux de riz sur les tombes des défunts pour partager entre le monde d'ici et d'ailleurs.

le mois d'avril.
Hanami : contempler les cerisiers en fleurs.
Contempler les fleurs et s'épanouir au bonheur. Tout le monde le pense, tout le monde le dit c'est ancien et serein. Si leurs floraisons débutent au tout début du mois d'avril, une semaine suffit pour observer les visages admirer les cerisiers en fleurs. Hanami rassemblement énormément de foules qui viennent dans les lieux publics afin d'observer et de pique-niquer sous les cerisiers. (Selon les villages divers festivités sont organisés).

: cérémonie d’accueil à l'académie.
Qui dit mois d'avril, dit également rentrée pour une nouvelle année à l'académie. A l'occasion de l'entrée des nouvelles recrues, aspirants ninjas, se voient être accueillit par les anciens et nouveaux élèves. Un moment pour apprendre à apprivoiser son environnement et une façon de se faire une vision sur l'avenir. Nyûgaku Shiki accueillent bien évidement lors du premier jour les parents afin de rassurer les plus jeunes. Attention, une tenue correcte est exigée.

Golden Week.
La semaine en or, la semaine qui compte le plus de jours de repos. Entre le dernier jour d'avril et le début du mois de mai, de nombreuses activités sont organisées dans un village nommé afin de participer à une festivité destinée à souder les liens entre les nations. Manifestations sportives, festivals de musique et culinaires, compétitions, tout est mise ne place pour que la semaine soit agréable. Un moyen de mettre un arrêt sur le temps et l'espace.

Le mois de mai.
Tango no sekku : fête des enfants.
Tango no sekku où littéralement le cinquième jour du cinquième mois. Un jour qu'aucun enfant ne pourrait oublier puisqu'ils sont à l'honneur. La célébration met l'esprit enfantin de chacun au premier plan comme pour nous rappeler que la nouvelle génération est l'espoir prochain. Ainsi chaque chef de familles installent des mâts afin d'y accrocher des bannières réaliser par leurs descendances. Un instant à partager entre petits et grands. Un énième message implicite pour souligner qu'au fond chacun d'entre nous possède une âme d'enfant.

Le mois de juin.
Tsuyu : la saison des pluies.
Elle annonce la fin de la saison printanière, le début d'une période de pluie également. Favorable aux récoltes des montagnes, les festivités qui entourent ce mois se bordent à l'esprit de collectivité mais aussi de prières. Un temps calme pour bénir les bonnes intentions de Mère Nature.

Le mois de juillet.
Natsu matsuri : les fêtes d’été.
A l'image de la Golden Week, les fêtes de l'été sont consacrées à l'euphorie, au bien être et à l'optimisme. Propre à chaque nation, souvent elles se déclinent selon les éléments du pays. Les animations sportives, les feux d'artifices, les festivals à thèmes, les tombolas, les bals, tout est mise en œuvre pour chasser l'ennui et donner l'envie de s'amuser.

Tanabata : fête des étoiles.
L'étoile du Bouvier, l'étoile de la Tissandre. Conte de deux brillantes qui se sont autrefois aimées et qui ne se rencontrent qu'une seule et une fois par an le septième jour du mois de juillet. La tradition veut que chaque habitants inscrivent un vœu sur un morceau de papier avant de le suspendre à une poutre en bambou. C'est l'occasion également pour les amoureux de déclarer leur flamme.

O-bon : fête des morts.
Au courant du milieu juillet, chaque famille à pour coutume de rendre hommage à leurs défunts (la famille le plus couramment). La fête des morts étant destinée à guider et conduire les âmes perdues, errantes vers le chemin du paradis, les habitants des villages ont pour habitude d'illuminer leur maison, les cimetières, les ruelles de petits lampions qui éclairent dans la nuit. Décoration des petits autels bouddhiques, bruler des encens au sanctuaire, ils y déposent des offrandes. Peu de temps après, les petites lanternes sont déposées sur un ruisseau afin de reconduire les esprits disparus vers le monde de l'au delà. La population se retrouvent aussi le temps d'une soirée sur la place centrale du village afin de s'amuser au cours de la danse de la fête des morts. Vêtus de yukata, le village s'amuse et festoie en l'honneur de leurs disparus.

Le mois de septembre.
O-higan : équinoxe d’automne.
C'est autour de la troisième saison de l'année d'être au centre de toutes attentions. En effet, le O-higan à la particularité de débuter trois avant et de prendre fin trois après. Les rites et festivités sont les mêmes que lors de l'équinoxe de printemps. Cette saison est tout aussi importante pour les habitants.

Tsukimi : contempler la lune.
Fondée sur l'ancien calendrier luni-solaire, cette fête consiste uniquement à observer le ciel par une nuit de pleine lune sans le moindre nuages. Actuellement le Tsukimi - qui signifie littéralement observer la lune - a donné lieu à l'un des plus beaux festivals de l'année où le thème principal de l'astronomie est mise à l'honneur.

Le mois de décembre.
Bônen kai : réunion de fin d’année.
Bônen kai où tout simplement une réunion où l'on oublie qui sont les employeurs et les employés. Une égalité parfaite subsiste au cours de cette réunion qui célébre la fin de l'année. Ici sont uniquement rassemblés les cadres de travail ou l'entourage qui vous accompagne durant vos activités. Ainsi, chacun s'affranchit de l'étiquette des titres hiérarchiques.

Koto hajime : préparatifs du Nouvel An.
Le treizième jour de décembre, les préparatifs du nouvel sonne la date de départ pour les grands rassemblements. Les familles s'emploient dans un premier temps à effectuer un nettoyage de printemps - comment on pourrait le dire - et dans un deuxième temps de faire les réserves alimentaires pour ne manquer de rien lors des jours de fêtes à venir. Les plus jeunes s'affèrent aux décorations et les plus âgés des tâches les plus minutieuses. Et oui, tout le monde met la main à la pâte - à sa manière du moins.

Noël.
Cette fête est sans doute la plus attendue pas les tous petits - sans oublier les âmes des grands gamins qui sommeillent. Cependant, de nos jours cette célébration - en plus du rite spirituel - à pris de plus en plus d'importance. C'est une occasion de plus pour réunir la famille et les amis les plus proches afin de se retrouver autour d'un repas et mémoriser ensemble des instants de partages et de réjouissances.

Ômisoka : réveillon du Nouvel An.
Trente-unième jour de l'année, le tout dernier avant le début d'une nouvelle année. Ce jour là est sans le moindre doute le plus coloré et le plus respecté dans l'ensemble des pays. Une grande réunion familiale ( y compris amicale) afin de se restaurer et d'écouter ensemble les cent huit coup de la grande cloche qui soit disant sont destinés à effacer les cent passions qui dominent l'humanité. Les plus courageux quand à eux, effectuent pour un tour de visite dans un temple ou sanctuaire.

( LA CEREMONIE DU THE )
Ancienne et lointaine à la fois, la cérémonie du thé remonte au XIIe siècle sans jamais cesser de se peaufiner au fil des siècles suivant. Tout ne tient pas à une tasse et des feuilles de matcha mais avant tout à une recherche au cœur de la sphère spirituelle. Une bulle que l'on tente d'atteinte pour rencontrer la tranquillité de l'esprit, le respect et la pureté. Si au début de son entrée dans le monde, cette célébration était une invitation réservée à la classe de la noblesse et de l'aristocratie, de grands maitres ont revisités les traditions et les mœurs. Ainsi démocratisée, la cérémonie du thé entre dans les coutumes et donc au sein de chaque foyer. Dans son plus simple appareil, elle se fête en toute modestie et humilité. Chaque actes étant avant tout respectueux de la conscience zen et de la méditation. Au cours de cette cérémonie, tous les gestes et mouvements des invités - y compris du maitre - sont importants. Chacun son rôle et se doit de s'y tenir. Le Maître de thé purifie la longue cuillère avec un linge de soie, fait chauffer l’eau à la bonne température, dépose la poudre de Matcha dans un bol avec une cuillère en bambou, verse l’eau chaude et fait mousser eau et thé Matcha à l’aide d’un petit fouet en bambou. Pour les invités, apprécier la pâtisserie servie, puis le thé, en quelques gestes précis et immuables : faire tourner le bol dans ses mains pour en apprécier la beauté et la partager avec les autres invités, déguster en trois gorgées et demie. La cérémonie du thé est un instant commun où l'on fête l'harmonie, le bien être, l'épanouissement, la sincérité et la paix intérieure. Bien que la spiritualité soit un caractère immuable, ces valeurs ne cessent d'être cultiver.

©️ A M A T E R A S U (2017)


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